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Yasser Arafat, Père du Terrorisme Moderne et Bourreau d’Enfants Juifs

 

By Pierre Rehov

24 août 2025

pour Dreuz.info

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Pendant des décennies, Yasser Arafat a été présenté par une partie des élites occidentales comme un symbole de la lutte pour la libération nationale.

Récompensé par un prix Nobel de la paix en 1994, il a multiplié les accolades diplomatiques, les discours en costume et les poignées de main devant les caméras.  Mais derrière l’image d’un leader au keffieh savamment noué se cache l’un des pires terroristes du XXe siècle, responsable de massacres d’innocents, d’attentats sanglants, de détournements d’avions et d’une stratégie de haine qui perdure encore aujourd’hui.

 

1. Le fondateur du terrorisme international moderne

Yasser Arafat n’a jamais été un « résistant » au sens noble du terme. Dès la fondation du Fatah en 1959, puis de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) qu’il dirige à partir de 1969, il fait du terrorisme une arme stratégique globale, visant délibérément les civils juifs et occidentaux. Ses hommes – souvent via des groupes satellites comme le FPLP ou Septembre Noir – multiplient les détournements d’avions commerciaux : El Al (1968), TWA (1969), Dawson’s Field (1970), Lufthansa (1972). En 1970, à Zurich, 47 personnes périssent dans le crash d’un vol SwissAir piégé par une bombe liée au FPLP.
Mais le monde entier découvre l’étendue de sa cruauté lors des Jeux Olympiques de Munich, en 1972, où onze athlètes israéliens sont capturés, torturés puis assassinés par le groupe Septembre Noir, branche armée du Fatah. Arafat, qui nie toute implication, est pourtant directement lié aux commanditaires et a financé l’opération, comme le démontrent plusieurs documents saisis depuis.

 

2. Un tueur d’enfants au nom de la « cause »

Contrairement aux discours aseptisés de ses partisans, Arafat n’a jamais fait de distinction entre civils et militaires. Pendant la Seconde Intifada (2000–2005), qu’il a délibérément déclenchée après avoir rejeté les offres de paix des accords de Camp David, des centaines d’attentats-suicides frappent la population israélienne. Les Brigades des Martyrs d’al-Aqsa, affiliées au Fatah, revendiquent des attaques meurtrières contre des restaurants, des bus scolaires et des centres commerciaux. L’attentat du restaurant Sbarro à Jérusalem, en août 2001, tue 15 personnes, dont 7 enfants. Celui du Café Apropo, en 1997, tue une jeune mère et son bébé de 14 mois.

Des documents saisis dans les bureaux de l’Autorité palestinienne montrent qu’Arafat approuvait personnellement les paiements aux familles des terroristes, finançait les cellules armées et signait les ordres de missions. Il ne s’agit donc pas de dérives locales : la mort d’enfants faisait partie intégrante de sa stratégie.

 

3. Le manipulateur suprême : double discours et duplicité

Devant les caméras du monde libre, Arafat se pose en homme de paix. Mais dans ses discours en arabe, captés à plusieurs reprises, il appelle à la poursuite du jihad, à la destruction d’Israël et à la glorification des « martyrs » suicidaires. Cette duplicité devient flagrante après les accords d’Oslo (1993), où il promet reconnaissance et paix, tout en réarmant discrètement ses milices et en endoctrinant une génération entière via les médias et les manuels scolaires palestiniens.

Il est aussi l’un des premiers dirigeants à avoir transformé le mensonge en arme de guerre, inventant des récits d’atrocités israéliennes totalement fictives pour attiser la haine mondiale. C’est lui qui a posé les bases de ce que l’on appelle aujourd’hui « Pallywood » : une machine de propagande palestinienne où les faits sont fabriqués, les émotions instrumentalisées, et les caméras occidentales complaisantes.

 

4. Un antijuif obsessionnel

Arafat n’est pas simplement anti-israélien. Il est profondément antisémite. Formé au Caire dans les années 1950, il reprend les thèses conspirationnistes classiques : les Juifs contrôleraient les banques, les médias, et seraient les ennemis éternels de l’islam.          Il n’hésite pas à faire référence aux Protocoles des Sages de Sion dans certains discours internes, et a accueilli sur son territoire des criminels nazis convertis à la cause palestinienne. Il fait du meurtre de civils juifs une action non seulement politique, mais spirituelle, travestie en devoir religieux.

 

5. Un faussaire devenu chef d’État

Le sommet de l’ironie historique est atteint en 1994, lorsqu’il reçoit le Prix Nobel de la paix aux côtés d’Yitzhak Rabin et Shimon Peres. Beaucoup ignorent alors que la paix est, pour Arafat, une simple étape vers la reconquête totale. Son propre peuple paiera le prix de cette stratégie : après sa mort en 2004, la corruption généralisée de l’Autorité palestinienne, la montée du Hamas, et l’effondrement des institutions palestiniennes seront les fruits directs de son héritage.

 

Yasser Arafat n’a jamais été un homme de paix. Il n’a jamais cherché la coexistence, mais la victoire totale par le sang et la manipulation. Il n’a pas libéré un peuple, il en a inventé un pour le prendre en otage. Il n’a pas lutté pour la justice, mais pour un projet totalitaire fondé sur la haine. Derrière le masque du diplomate se trouvait un stratège de la mort, un artisan du chaos, et l’un des plus grands criminels politiques du XXe siècle.