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La Question la plus Importante à Propos de l'Election de 2020

Par Dennis Prager, animateur et chroniqueur d'un talk-show radiophonique diffusé à l'échelle nationale.

Source : https://www.frontpagemag.com/fpm/2021/01/most-important-question-about-2020-election-dennis-prager/

28/1/21

Texte en anglais ci-dessous

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Est-ce vraiment un "mensonge" ou une "théorie de la conspiration" que de s'interroger sur l'intégrité de l'élection présidentielle américaine ?

Depuis le lendemain de l'élection de 2020, je me dis agnostique quant à savoir si l'élection a été décidée honnêtement ou malhonnêtement. Les principales raisons de mon agnosticisme sont les raisons habituelles.

Les anomalies :

- En 132 ans, aucun président n'a reçu plus de voix dans sa course à une réélection et n'a perdu. Pourtant, Donald Trump a reçu 10 millions de voix de plus en 2020 qu'en 2016 - et a perdu.

- Trump a remporté 18 des 19 comtés que les démocrates et les républicains considèrent comme des comtés "révélateurs" qui reflètent pratiquement toujours le résultat des élections présidentielles. Pourtant, il a perdu.

- Il a remporté quatre États phares : la Floride, l'Ohio, l'Iowa et la Caroline du Nord qui donnent le signal d’une victoire. Mais il a perdu.

- Les Républicains ont conservé tous les sièges de la Chambre qu’ils défendaient et ont gagné 13 autres sièges. Mais Trump a perdu.

Ajoutez les éléments suivants aux anomalies :

- Des efforts sans précédent ont été faits dans certains États pour modifier les lois électorales.

- La plupart des États démocratiques ont envoyé des dizaines de millions de bulletins de vote ou de demandes de vote par correspondance à des personnes qui n'en avaient jamais fait la demande.

- Le vote a commencé dans certains États six semaines avant le jour du scrutin.

- Des personnes ont présenté des déclarations sous serment, à grands frais personnels et avec d'éventuelles accusations de parjure, selon lesquelles elles auraient été témoins d'une falsification des bulletins de vote le soir du scrutin.

Mais toutes ces choses auraient peu d'importance, si les démocrates impliqués dans le décompte des voix se sentaient moralement obligés de compter les votes honnêtement.

Il y a donc une question dont je n'ai jamais entendu parler qui l'emporte sur toute autre considération :

Les considérations morales empêcheraient-elles les démocrates de tricher pour évincer le vainqueur probable ? Ou, pour poser la question de manière positive : Les démocrates jugeraient-ils moralement obligatoire de tricher au nom de Joe Biden ?

La réponse à la 1ère question est non : Les considérations morales n'empêcheraient pas les démocrates décents de tricher pour empêcher la réélection de Trump. La réponse à la 2ème question est oui : les démocrates décents considéreraient qu'il est moralement obligatoire de tricher au nom de Joe Biden.

Pendant 4 ans, les médias et leur parti, les Démocrates, nous ont dit chaque jour que Trump est un fasciste, un dictateur, un raciste et un suprémaciste blanc ; qu'il était un agent du gouvernement russe - un candidat mandchou dans la vie réelle. Les médias menteurs nous ont également répété à plusieurs reprises qu'à Charlottesville, en Virginie, Trump a dit qu'il y avait de "très bons" nazis. Oui, les médias nous ont dit sans détours qu'un homme avec une fille juive, un gendre juif et des petits-enfants juifs a dit qu'il y avait de bons nazis. Biden a dit qu'il avait décidé de se présenter aux élections présidentielles à cause de ce mensonge.

Alors, voici la question : Pourquoi quelqu'un qui croit sincèrement que Trump est un dictateur fasciste blanc-suprémaciste ne tricherait-il pas s'il pouvait empêcher une telle personne de devenir ou de rester président des États-Unis ?

Permettez-moi d'affiner cette question : Une personne qui pourrait empêcher un dictateur fasciste, suprémaciste blanc et défendant les nazis n'est-elle pas moralement obligée de tricher, si elle pouvait empêcher une telle personne de devenir président ?

Je le ferais certainement. Si j'étais en mesure de tricher pour empêcher un fasciste de devenir président, pourquoi ne tricherais-je pas ? Je pense à l'exemple le plus pertinent : les nazis aux élections de 1932, les dernières élections libres en Allemagne jusqu'après la Seconde Guerre mondiale. Bien que le parti nazi n'ait pas obtenu la majorité des voix, les nazis détenaient le plus grand nombre de sièges au Reichstag, et le chef du parti, Adolf Hitler, a été nommé chancelier de l'Allemagne. Si j'avais été en mesure d'empêcher les nazis d'arriver au pouvoir, en trichant dans le décompte des votes, n'aurais-je pas été moralement obligé de le faire - et donc de le faire ? La réponse est évidente.

Je le répète, je n'ai jamais dit que Biden n'avait pas gagné les élections. Et même s'il y avait eu une fraude considérable, cela ne signifie pas que le résultat de l'élection aurait été différent.

Mais il y a des conséquences aux croyances. À moins que les démocrates ne sachent qu'ils ont menti pendant quatre ans en qualifiant Trump de fasciste, de raciste, de nazi, de dictateur, etc., n'étaient-ils pas tenus de tricher au nom de Biden ? Alors, quand vous avez des preuves circonstancielles (mais pas des preuves), combinées à l'opportunité, au désir, au motif et, surtout, à l'absence d'argument moral contre la tricherie et à un argument moral fort pour la tricherie, ce n'est pas un "mensonge", et ce n'est pas une théorie de conspiration de fous, que de s'interroger sur l'intégrité de l'élection présidentielle américaine de 2020.

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The Most Important Question About the 2020 Election

by Dennis Prager, a nationally syndicated radio talk-show host and columnist

Source: https://www.frontpagemag.com/fpm/2021/01/most-important-question-about-2020-election-dennis-prager/ 

28/1/21

Is it really a "lie" or a "conspiracy theory" to wonder about the integrity of the election?

Since the day after the 2020 presidential election, I have said I am agnostic with regard to whether the election was honestly or dishonestly decided.

The primary reasons for my agnosticism are the usual ones:

The anomalies:

In 132 years, no president has received more votes in his run for reelection and lost. Yet Donald Trump received 10 million more votes in 2020 than in 2016 — and lost.

Trump won 18 of the 19 counties both Democrats and Republicans regard as the "bellwether" counties that virtually always go with the outcome of presidential elections. Yet he lost.

He won four bellwether states — Florida, Ohio, Iowa and North Carolina. Yet he lost.

Republicans held onto all the House seats they were defending and gained another 13 seats. Yet, Trump lost.

Add the following to the anomalies:

Unprecedented efforts were made in some states to change election laws.

Mostly Democratic states sent out tens of millions of ballots or applications for absentee ballots to people who never requested them.

Voting began in some states six weeks before Election Day.

People have submitted sworn affidavits at great personal cost and with possible perjury charges that they witnessed ballot tampering on election night.

But all these things would matter little if Democrats involved in ballot-counting felt morally compelled to count votes honestly.

So, then, there is one question I have never heard posed that trumps all other considerations: Would moral considerations prevent Democrats from cheating to oust Trump? Or, to put the question in the positive: Would Democrats deem it morally obligatory to cheat on behalf of Joe Biden?

The answer to the first question is no: Moral considerations would not prevent decent Democrats from cheating to prevent Trump's reelection. The answer to the second question is yes: Decent Democrats would deem it morally obligatory to cheat on behalf of Biden.

For four years, the media and their party, the Democrats, told us every day that Trump is a fascist, a dictator, a racist and a white supremacist; that he was an agent of the Russian government — a real-life Manchurian candidate. We were also repeatedly told by the lying media (Trump's accurate description of the mainstream media) that in Charlottesville, Virginia, Trump said there are "very fine" Nazis (see the PragerU video, "The Charlottesville Lie"). Yes, the media told us with a straight face that a man with a Jewish daughter, Jewish son-in-law and Jewish grandchildren said there are fine Nazis. Biden said he decided to run for president because of this lie.

So, then, here is the question: Why would anyone who sincerely believed Trump is a white-supremacist fascist dictator not cheat if he or she could prevent such a person from becoming or remaining president of the United States?

Let me sharpen this question: Isn't someone who could prevent a fascist, white-supremacist, Nazi-defending dictator morally obligated to cheat if he or she could prevent such a person from becoming president?

I certainly would. If I were in a position to cheat in order to prevent a fascist from becoming president, why would I not cheat? I think of the most relevant example: the Nazis in the 1932 elections, Germany's last free election until after World War II. Though the Nazi Party did not receive a majority of votes, the Nazis held the most seats in the Reichstag, and the head of the party, Adolf Hitler, was named chancellor of Germany. If I were in a position to have prevented the Nazis from coming to power by cheating in the vote-count, wouldn't I have been morally obligated to do so — and therefore done so? The answer is obvious.

To repeat, I have never said Biden did not win the election. And even if there was considerable fraud, that doesn't mean the election result would have been different.

But there are consequences to beliefs. Unless Democrats knew they were lying for four years when they labeled Trump a fascist, racist, Nazi, dictator, etc., were they not duty-bound to cheat on Biden's behalf? So, then, when you have circumstantial evidence (not proof), combined with opportunity, desire, motive and, most important, no moral argument against cheating and a strong moral argument for cheating, it isn't a "lie," and it isn't a crackpot conspiracy theory, to wonder about the integrity of America's 2020 presidential election.