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« Pourquoi Jérusalem est bien la Capitale Incontestable d’Israël »

Par Pierre Rehov

19/8/23

Initialement publié le 9 mai 2018

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A la veille de l’inauguration de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem, le réalisateur Pierre Rehov, auteur d’un reportage qui expose, avec des interviews exclusifs d’imam et de chercheurs, les mensonges et la propagande palestinienne, nous explique pourquoi Jérusalem est bien la capitale d’Israël, et pas des Arabes palestiniens.

- Dreuz : Pierre Rehov, nous approchons du 14 mai, date à laquelle l’ambassade des États-Unis, bientôt suivie par celle du Honduras, du Paraguay et certainement de la République Tchèque et de la Roumaine, va s’établir dans la capitale d’Israël, Jérusalem, enfin reconnue. Vous avez réalisé votre film « Dévoiler Jérusalem» il y a maintenant plus d’un an. Quelle a été votre motivation quand vous l’avez produit ?

Voir « Dévoiler Jérusalem » en version française : https://vimeo.com/217720890).

Pierre Rehov : Comme tout le monde, j’ai été offusqué par la ridicule décision de l’UNESO, qui n’en était pas à sa première honteuse révision de l’histoire en faveur des musulmans, lorsque cet avatar onusien a effacé d’un trait toute connexion entre le Peuple juif, les chrétiens, et le Mont du Temple, devenu exclusivement « Haram Al Sharif » grâce à la majorité arabe automatique qui l’empoisonne. Dans tous mes documentaires, je m’attache aux faits et fais en sorte de démontrer, par l’image, les chiffres et d’autres informations incontestables, que lorsque deux narrations s’opposent entre Israël et les terroristes qui se font appeler « Palestiniens », la vérité est presque toujours du côté d’Israël. Je suis donc parti à la recherche du Temple de Salomon et d’Hérode avec l’aide d’archéologues et d’historiens mondialement connus. Cela m’a permis de rétablir quelques vérités historiques et de démontrer le peu de connexion réelle que l’Islam entretient avec Jérusalem, une ville qui ne les intéresse que parce qu’Israël l’a reprise et l’a fait prospérer.

Pour ce film, vous êtes parvenu à approcher le grand imam de la mosquée d’Al Aqsa (dont les propos sont d’un ridicule frisant l’absurde) et un haut responsable du Waqf. Comment avez-vous fait ?

Je me targue d’exercer mon métier de reporter documentariste le plus professionnellement possible. Je ne fais pas de propagande. Si Israël commet des erreurs, je n’hésite pas non plus à les souligner. Il était hors de question, donc, de réaliser un film sur Jérusalem sans aller quérir le point de vue de la partie opposée. Ma nationalité française m’autorise l’accès à des lieux auxquels beaucoup d’autres n’auraient pas droit. Les Palestiniens sont convaincus que les journalistes français sont systématiquement de leur côté. Ce qui a permis, en effet, au grand Imam de se laisser aller et de se ridiculiser tout seul, lorsque je lui ai demandé qui avait construit la Mosquée Al Aqsa. Selon lui, Adam aurait bâti la mosquée de la Mecque et donc, certainement son fils (Caen ou Abel?) aurait construit Al Aqsa (la lointaine) 40 ans plus tard. Ou il m’a pris pour un parfait imbécile qui boirait ses propos comme n’importe journaliste du Monde Diplomatique ou de Libé l’aurait fait, ou il y croyait vraiment, ce qui est plus grave, mais moins dangereux. Un tel niveau de volonté propagandiste ne peut faire que faire sourire, même les plus illettrés.

Pouvez-vous nous expliquer en quoi votre film peut permettre au spectateur de comprendre pourquoi la décision du Président Trump d’appliquer la loi du congrès de 1995 qui imposait le déplacement de l’Ambassade Amérique à Jérusalem est la bonne, et nous rapproche de la paix.

On ne peut pas traiter les Arabes de Palestine comme des adultes. Il faut les considérer comme des adolescents attardés

Ce que vous découvrez dans le film est simple. D’un côté, fort de leur connaissance de l’histoire, les Israéliens réaffirment leur légitimité sur leur capitale, tout en démontrant leur intention de « partager » la ville. Il s’agit là, non pas d’en partager l’autorité, mais de permettre à toutes les religions, toutes les mouvances, d’y vivre en paix, en sécurité et avec libre accès à leurs lieux saints. À l’opposée, les Arabes qui se font appeler « Palestiniens » n’ont qu’un but: s’approprier tout Jérusalem et en faire un WAQF, c’est-à-dire un lieu saint de l’Islam auquel les autres religions n’auront pas accès.

D’un côté, une volonté de paix, de démocratie, d’égalité entre les croyances. De l’autre, cette volonté suprématiste musulmane, qui fait paraître le suprématisme blanc comme une joyeuseté pour adolescents attardés.

Je n’aime pas la notion d’Islam « modéré » qui ne veut pas dire grand-chose

Jusqu’au aujourd’hui, aucun non-musulman n’a accès à la Mecque. Près d’un million de Juifs (soi-disant « protégés » par la dhimmitude) ont été chassés des pays musulmans après 1948. Un Juif ne peut pas se rendre en Arabie Saoudite, et les Juifs n’ont toujours pas le droit de prier au mont du Temple, ce qui est une hérésie.

À travers ce film, tout homme de paix découvrira que la seule façon de parvenir, justement, à la paix est en l’imposant à l’Islam, par la force si nécessaire. L’Islam politique, en dehors de l’Islam familial (je n’aime pas la notion d’Islam « modéré » qui ne veut pas dire grand-chose) est sans doute l’un des systèmes les plus racistes, arrogants, et agressifs de tous les temps. L’Islam du Moyen-Orient s’inspire de plus du Nazisme, qu’il a longtemps soutenu. Donc, déplacer cette ambassade consiste pour la puissance américaine à dire aux Arabes et aux autres musulmans : « C’est fini. Vous ne détruirez pas Israël. Il est temps pour vous de commencer à vous construire quelque chose au lieu de toujours tenter de voler ce qui a été construit par les autres. Jérusalem est la capitale d’Israël. On vous donnera sans doute Abu Dis pour construire la vôtre. À condition que vous commenciez à bien vous comporter… »

On ne peut pas traiter les Arabes de Palestine comme des adultes. Il faut les considérer comme des adolescents attardés, qui ont trop longtemps été gâtés-pourris par l’Europe et surtout par les USA sous Obama. Face à une nouvelle réalité, ils font comme d’habitude: ils brûlent des pneus, lancent des cailloux, brûlent des drapeaux, tentent de se faire plaindre en sacrifiant des boucliers humains. Mais cette fois la sauce ne prend pas, malgré la tentative absurde d’une multitude de médias de gauche de sauver leur narration. Le 14, Israël célébrera son soixante-dixième anniversaire au moment où le drapeau américain flottera sur l’ambassade des USA à Jérusalem pour la première fois. Le lendemain matin, il faudra bien que les Arabes de Palestine qui se font appeler « Palestiniens » en contradiction avec l’histoire, une fois de plus, se fassent à cette nouvelle réalité.